Le popotin : mot mignon qui décrit une partie du corps tout aussi mignonne qu'on se pogne allègrement quand on lit ou rédige des blogs.
mercredi 30 avril 2008
New York, New York : Les transports
Pour un court séjour à Manhattan, pour deux, même avec un parking à 40$ par jour et de l'essence chère, nous avons calculé que ça nous coûtait légèrement moins cher en auto qu'en autobus. Et nous sommes quand même restés 4 nuits. Si on enlève 2 nuits pour une courte fin de semaine, ça devient encore plus avantageux, car le bus ne diminue pas mais le parking oui. Et si comme nous, vous avez la chance de trouver un trou gratuit quelque part sur la rue, c'est encore mieux ! En plus, il faut le dire, la route est vraiment belle dans les Adirondacks et je pense qu'on peut bien mieux l'apprécier dans sa bagnole avec la musique dans le tapis que dans un bus bondé de nuit. On peut arrêter quand on veut, pisser et manger quand on veut, mettre la musique qu'on veut, s'asseoir près de qui on veut. La joie finalement.
Une fois rendu à Manhattan, la voiture est évidemment à proscrire, à moins d'être masochiste, voire suicidaire. Les Américains conduisent comme des malades, et les New Yorkais semblent être parmi les pires. Sur l'autoroute, on se sent comme une tortue à 120 : tout le monde roule à 130-140. À NY, on se sent comme un mononc' si on respecte des trucs comme les feux rouges, les voies réservées et des valeurs ridicules comme le civisme. C'est chacun pour soi et tassez-vous de d'là.
Porc-épic et moi avons essayé un ensemble de moyens de transport : taxi, marche, métro, autobus, calèche.
Taxi : Wow !!!! Vraiment moins cher qu'à Montréal et plus rapide qu'on pourrait le croire malgré le trafic car les chauffeurs de taxis conduisent particulièrement comme des malades. Si on ne regarde pas trop et qu'on s'accroche, au moins on se rend vite. Moi qui aime les gogosses, j'ai surtout été impressionnée par les écrans tactiles qui donnent toutes sortes d'infos, dont les nouvelles, la météo, le trajet suivi par la voiture, et le paiement tellement facile et efficace. On passe sa carte de crédit soi-même, on peut indiquer le pourboire en dollars ou en pourcentage de la course et après un gros 2 secondes c'est réglé ! Une chance que je n'habite pas là-bas, je me ruinerais avec ça...Pour en attraper un, il faut faire comme les films, c'est-à-dire se ruer dessus sans aucune considération pour toute autre personne qui essayait de faire de même.
Marche : Le moyen de locomotion privilégié par tout bon touriste qui n'a pas peur des ampoules et des coups de soleil. Mais attention aux distances quand on a un rendez-vous important du genre le récital d'une de ses meilleures copines : ce qui peut paraître court sur une carte est peut-être ben long finalement, surtout entre les avenues...En cas de désespoir, utiliser notre ami le taxi.
Métro : Très efficace, surtout parce que 24/24. Quand on est fatigué, il est par contre assez facile de s'y perdre si on ne le connaît pas bien et qu'on descend à quatre stations "23rd st" différentes...Dans le wagon, c'est bruyant mais propre. À l'extérieur du wagon, c'est silencieux et sale. Le seul tunnel qui ne sentait pas la pisse à plein nez est celui vers le Musée d'histoire naturelle.
Autobus : Pas grand chose à dire, si ce n'est vive l'air climatisé !
Calèche : Assez bref et on se fait fourrer un peu, mais faut le faire au moins une fois le tour de calèche dans Central Park !
mardi 29 avril 2008
Panne
lundi 28 avril 2008
Apocalypse
Aujourd'hui, c'est l'apocalypse, le pire des changements, un pilier de mon enfance qui s'écroule. On a changé la recette du Kraft Dinner. Je ne suis pas certaine de m'en remettre.
Vengeance ?
dimanche 27 avril 2008
Discussion philosophico-politique ou the inclusive noune
Moi : Non mais c'est fou quand même. La catégorisation, c'est un des processus cognitifs les plus fondamentaux de l'être humain. Si je ne faisais pas de catégories, je ne pourrais même pas appréhender le monde, je ne serais pas capable de réfléchir. Je ne pourrais même pas percevoir ton crayon si mon cerveau ne me disait pas qu'il n'est pas comme la table, qu'il est différent. C'est normal qu'on fasse la même chose avec les humains. Tsé, on perçoit toujours des différences, mais lesquelles ? Tsé le fameux "nous" et "eux". Toi, quand tu dis "nous", à qui tu penses au fond ?
Porc-épic : C'est un "nous" inclusif. An "inclusive noune".
Je me bidonne.
samedi 26 avril 2008
vendredi 25 avril 2008
Mélancolie du vendredi soir
Peut-être que c'est la brise trop fraîche.
Peut-être que c'est la saisie de données qui m'attend demain.
Peut-être que c'est la conversation de figures paternelles shitteuses que j'ai eue avec Maman.
Peut-être que c'est mes travaux que je n'ai plus envie de faire.
Peut-être que c'est cette photo de certaines filles parties au bout du monde alors que j'ai peur d'aller au bout de la rue.
Peut-être que c'est que mes amies me manquent.
Peut-être que c'est que je suis fatiguée.
Peut-être que j'aimerais être encore à Central Park, sans soucis et sans obligations.
Peut-être que c'est cette carte de fête sortie du placard de Porc-épic qui m'a rappelée que je haïssais les amours tièdes et qui me fait me demander si j'en suis rendue là.
Peut-être que c'est juste moi.
Le symbole ultime de la mélancolie pour moi ? Ce vers de Mallarmé, que je trouve superbe.
La chair est triste, hélas ! et j'ai lu tous les livres
jeudi 24 avril 2008
L'ennemi de la planète
mercredi 23 avril 2008
Crampe de joue
mardi 22 avril 2008
Retour NY et conversations de filles
Samedi soir, New York, nous marchons dans la ville Porc-épic et moi, nous revenons du resto, totalement épuisés, il est autour de minuit. Je viens de terminer mes règles et ça fait deux jours qu'on se balade du matin au soir.
Moi : Ouais...Là c'est le genre de trucs que je préférerais dire à mes amies de filles, mais ya juste toi en ce moment pis faut vraiment que j'en parle alors...
Porc-épic, pas sûr : Ouain...
Moi : J'ai tellement le cul irrité !!! Tsé, les serviettes sanitaires, c'est un peu comme une couche, ça garde toute l'humidité, pis là ça fait deux jours qu'on marche pis j'ai mal au cul en crisse, chui sure que chu toute rouge comme les bébés.
Porc-épic, avec un ton de "je veux pas le savoir" : Euh...met de la crème ?
Autre conversation de pause au cours aujourd'hui, nous sommes Gamine, Sunshine, moi et Ti-Gars qui se pousse quand on commence à parler de règles. Sunshine essaie de nous vendre le principe du keeper, la gugusse en silicone que tu mets et vides à chaque jour, le mini-bol à menstru finalement.
Sunshine : J'vous dit les filles, c'est trop génial, c'est super propre en plus, c'est pas dégueu comme les serviettes et les tampons et ça pollue pas.
Gamine : Ouais faudrait que j'essaie ça, mais ché pas, je veux pas l'essayer en voyage. (Note : elles partent faire le stage en Argentine dans 2 jours) Est-ce que ça peut faire des infections ?
Sunshine : Non, je pense pas, tsé, t'as juste à te laver les mains, c'est tout.
Moi, avec un sourire en coin : Bah, de toute façon, est-ce que tu te laves vraiment toujours les mains avant de te les mettre là ?
Fou rire généralisé...
lundi 21 avril 2008
De retour à Montréal
dimanche 20 avril 2008
Benedict XVI in New York
Melting pot d'aventures new yorkaises numéro 2
Moi : Is there a reason why you're in the middle of the space ?
New Yorkais susceptible : What do you mean ? I'm in the middle of nothing.
Moi : It's just that you're in the middle of a big space and I wondered if you're keeping a spot for someone else.
NYS : I don't know what you mean. I'm in the middle of nothing. I've lived here 40 years. I'm in the middle of nothing. I you ask me to move, I'll move.
Moi : Well, can you move ?
Nous avons donc pu finalement nous parker gratis. Yé.
samedi 19 avril 2008
Melting pot d'aventures new yorkaises
Nous sommes arrivés jeudi, vers 16h00, après avoir contourné New York et traversé tout Manhattan à l'heure de pointe parce que j'avais oublié la fin du chemin à Montréal...Totalement morts de fatigue, nous avons veggé dans la chambre et écouté le hockey à la radio sur Internet (oui, on est fans...). Après la partie, petit coup de fil de bonne chance à Anita, puis direction bouffe. Première expérience du métro, vraiment sale, puant et labyrinthique, mais efficace, je l'avoue. Nous sommes allés manger une montagne de smoke meat au Carnegie Delicatessen, avant de nous diriger vers Times Square avec une marée de touristes. Ayoye. Il y avait tellement de lumières, on aurait dit qu'il faisait jour, j'aurais pu m'asseoir et lire le journal n'importe où dans le coin. J'ai vu un groupe scolaire, avec la prof qui agitait désespérément une napkin au-dessus de sa tête pour essayer de ne pas perdre ses élèves. Je pense que je serais incapable d'amener un groupe à Times Square. Je suis ben trop mère poule et parano, j'aurais tout le temps peur d'en perdre un. Après Times Square, retour à l'hôtel, dans notre chambre d'hôtel très propre et confo, et dodo.
Suite de mes aventures plus tard...
vendredi 18 avril 2008
Quickie
jeudi 17 avril 2008
Le roi du volant
Fidèle à mon habitude des dernières semaines, quelques constations automobiles...La route pour aller à New York est vraiment superbe pour les premières heures. Les Adirondacks, wow ! J'ai fait le début du chemin, Porc-épic la fin parce que ça ne me tentait pas de conduire pour entrer à New York. Avec raison !!! Porc-épic a toute mon admiration, conduire dans Manhattan à l'heure de pointe, je ne suis vraiiiiment pas rendue là. Les Américains conduisent comme des malades : autour de 130 sur l'autoroute, et comme des vrais cowboys qui ne connaissent pas du tout les notions de lumière, voies, flashers. Mais les klaxons, ça oui. Vraiment, Porc-épic est le roi du volant.
mercredi 16 avril 2008
New York, New York
mardi 15 avril 2008
Excitation ternie
lundi 14 avril 2008
Soirée à l'orchestre
dimanche 13 avril 2008
L'amour comme au premier jour
Moi : Bullshit...
Porc-épic : Comment ça bullshit ?
Moi, sceptique : Ben là. Viens me dire que tu m'aimes comme au premier jour ?
Porc-épic : Non, mais moi j'ai pas dit ça.
Charmant.
Nouvelle orthographe
samedi 12 avril 2008
Goût d'enfance
Moment doux dans la salle de bain
Porc-épic : T'es vraiment petite. Tsé, moi chui petit, alors toi, t'es vraaaiment petite.
Je ne dis rien. Je le regarde dans le miroir et je hausse les épaules. Il sort de la salle de bain, puis se retourne.
Porc-épic : Dans le fond, je voulais dire que t'es belle. C'est con, la première chose qui m'est passée par la tête, c'est que t'es belle, mais je l'ai pas dit puis j'ai pensé que t'es petite. J'aurais dû dire que t'es belle à la place. T'es belle.
Je ris. Décidément, ya rien de simple dans notre couple, pas même les compliments.
vendredi 11 avril 2008
Répliques de fin de session
"Ça me cille dessus."
- Gamine, en parlant du projecteur bruyant juste en face d'elle.
"There ain't no losing Jews."
- Ti-Gars, après une présentation sur le programme d'une école juive qui veut faire de ses élèves des leaders
"Seigneur, j'me suis liché les couilles."
-Ti-Gars, en se demandant à quoi pouvait bien penser un chien tout pieux
Allez voir ce lien pour l'image du chien...
http://ursulines-ur.cef.fr/IMG/jpg/priere-2.jpg
jeudi 10 avril 2008
Potin hollywoodien
Frida
"Ah, Frida…Je ne pouvais venir ici sans lui offrir ces quelques mots, sans vous parler un peu d’elle. Contrairement à vous, je n’ai pas eu la chance de la connaître depuis plus de 25 ans pour certains d’entre vous. Frida est entrée dans ma vie un matin de juin 2004. J’étais venue passer une entrevue ici, j’étais toute nerveuse, je m’étais déguisée pour l’occasion, jupe, blouse, sandales à talons empruntées à ma mère, oui, oui ! Dès que je suis entrée dans son bureau, ça a cliqué. Au fond, je n’avais aucune espèce de qualification pour ce travail, mis à part une certaine connaissance des ordis et un brin de débrouillardise. Je ne connaissais rien au travail de documentaliste et j’étais une personne parmi les plus désordonnées qui soient alors le classement moi…mais humainement, le contact s’est fait et Frida, si instinctive et organique, m’a laissé ma chance.
Les semaines ont passé et j’ai découvert une femme vraie, généreuse, brillante, stimulante. Frida m’a toujours fait confiance, a toujours cru en moi même si j’étais et suis encore d’ailleurs jeune, même si je n’avais pas d’expérience, même si je ne connaissais rien en santé sécurité. Elle écoutait d’un air amusé et intéressé toutes mes réflexions, mes surprises, mes nombreux, eh oui, questionnements. Ça peut paraître banal, mais pour moi ce ne l’est pas du tout. La capacité de faire confiance est une qualité très rare qui est tout à ton honneur, Frida. Il était très difficile de lui parler le lundi matin, de lui poser une question. On faisait la file devant son bureau. On se l’arrachait, chacun en voulait une petite partie. Un conseil, une oreille, un avis, une amie, les deux jours sans elle semblaient avoir été bien longs. Quelque chose me dit que pour les semaines à venir, les lundi matin auront parfois un air tristounet pour certaines personnes. Frida était au centre de l’univers asstsassien, sorte de soleil autour de qui tous tournaient, certains plus près, d’autres un peu plus loin.
Je me considère privilégiée d’avoir eu la chance de côtoyer ce petit soleil, de travailler à ses côtés. J’ai appris à la connaître, j’ai parlé d’elle aux gens qui m’entourent. Plus tard, quand je leur ai parlé de sa retraite, ils m’ont regardé avec un air surpris. C’est que si on oublie de le mentionner, l’âge de Frida surprend. C’est une rieuse brillante, folle de peinture, de cinéma, de BD, de tout ce qui touche aux arts. J’aimerais dire qu’elle a changé ma vision des têtes grises, mais ce serait faux. Car des têtes grises comme elle, il n’y en a pas deux.
J’ai toujours eu une vision de nos vies et de nos cœurs comme d’un immense parchemin roulé très serré et gravé de toutes sortes d’événements, de détails, de sourires, de déchirures qui sont autant de taches d’encre sur le papier. Certaines s’effacent à la longue, d’autres sont plus tenaces. Frida a laissé beaucoup de traces sur mon petit parchemin à moi et des traces qui y sont pour rester. Je garderai un souvenir vif de nos dîners un peu fous et pleins de rires, de ces fois où tu m’as écoutée pleurer dans ton bureau, ces fois où je t’ai fait pleurer un peu aussi. Je me rappellerai de mon étonnement réjoui quand tu m’as montré des photos de tes toiles. Avouons-le, quand quelqu’un nous dit qu’il peint, on attend avec anxiété le moment où on devra s’extasier devant une sorte de peinture à numéro sans numéro. On s’attend à des chalets en bois ronds devant des montagnes en automne, des pierrots qui pleurent et des ballerines. Mais les tableaux de Frida sont à son image : pleins de couleur, vifs, passionnés, intrigants, tout en nuances. Je me rappellerai aussi de ton éclat de rire quand j’ai callé des hot-dogs dans la rangée 13 à l’intercom (eh oui, je l’avoue). Je me rappellerai aussi de ton côté rebelle. Pour ceux qui ne se rappellent pas de l’histoire, je la répète. Au cocktail du 25e anniversaire de l’ASSTSAS, Frida et Diego nous avaient offert, à Plume et à moi, de nous amener. En arrivant au musée, on cherche un espace de stationnement, et Diego décide de se stationner en avant du musée, dans le stationnement à côté du centre des sciences. On s’avance et un préposé du stationnement nous demande où nous allons, puis nous dit que nous ne pouvons nous stationner à cet endroit, il y avait une fête ou je ne sais trop. Eh bien Frida et Diego s’en sont foutu royalement. Diego remonte la fenêtre, enfonce la pédale et continue son chemin tout simplement. Plume et moi nous regardons d’un air ahuri pendant qu’une chaîne de préposés crient dans leur walkie-talkie que nous n’avons rien à faire là. Je vous jure, vous auriez dû nous voir, Plume et moi, stressées à mort, enfoncées dans le siège, attendant la punition pendant que nos deux aînés se stationnaient tout simplement. Mais après, il fallait descendre de la voiture, et repasser devant les préposés à pied ! Frida et Diego, super calmes ont fait leur petit bonhomme de chemin, bien calmement, pendant que Plume et moi constations avec effarement que nous étions peut-être trois fois plus jeunes, mais aussi trois fois moins rebelles que notre couple adoré.
Tout ça pour dire que je t’envie Frida, je t’envie d’être à l’heure de la retraite et d’être si belle, épanouie, en forme, créative, pleine de vie. Je te remercie pour toutes les belles choses que tu m’as fait vivre, pour tout ce que tu m’as appris. Tu m’as appris à être plus rebelle parfois, à me foutre de ce que les autres peuvent bien penser, à rester moi-même. Tu m’as encouragée et inspirée à entretenir cette créativité qui m’habite, cette envie de m’exprimer par l’art. Tu m’as donné envie de continuer à me battre becs et ongles pour ce et ceux que j’aime, comme tu l’as toujours si bien fait pour moi et pour tous ceux qui t’entourent. Tu m’as surtout appris, à moi qui chiale, crie et rue dans les brancards, que la force n’est pas toujours explosive et imposante, qu’elle peut aussi être tranquille et qu’on peut avoir beaucoup de pouvoir sans faire beaucoup de bruit. Nous en avons souvent parlé, tu sais comme je suis angoissée et je déteste faire des choix importants, je suis dans une période de ma vie où ces choix s’enchaînent à une vitesse folle et je trouve ça très difficile. Toi tu commences une nouvelle vie, pleine de rires et de peinture, une nouvelle vie où tu regardes vers l’avant avec espoir et vers l’arrière avec fierté. Je t’envie pour ça et te remercie pour une chose car dès que je t’ai rencontré, il y a eu au moins une chose où je n’ai pas eu à faire de choix. Je n’ai pas eu le choix de t’aimer. Je t’embrasse de tout mon cœur et je te souhaite la plus belle des retraites."
Pleurer de joie à un enterrement
mercredi 9 avril 2008
Un bon côté à toute chose
Bonne fête maman
Je chiale, mais ça s'est super bien passé, les banlieusards travaillent tard à ce qu'il semble, le pont était presque vide. N'empêche, c'était dur pour l'orgueil...Je l'aime ma maman ! :-)
mardi 8 avril 2008
Encore la BNQ
Ça fait du bien d'en parler, pu capable de la BNQ, pu capable des retours de grève, des fins de session, des ententes d'évaluation, pis des impolis agressifs mal engueulés qui s'obstinent avec les profs sur des conneries pour en faire le moins possible. Voilà.
lundi 7 avril 2008
Horreur
La référence ici :
cyberpresse.ca/article/20080407/CPINSOLITE/80407041/5406/CPINSOLITE
Le site ici :
http://myfreeimplants.com/
Un siècle de marde
Mmmm...pas trop déçue de ne pas y être !!!
Un autre mystère technologique
dimanche 6 avril 2008
Oreiller cheap
Le CH au sommet
samedi 5 avril 2008
Toune du jour numéro 5
Feels like home, Chantal Kreviazuk
http://www.youtube.com/watch?v=hjky7v7JIow
Une autre première
Je roule vers le Pain doré. Porc-épic m'appelle. En bonne conductrice respectueuse de la nouvelle loi, je ne réponds pas. J'arrive dans le stationnement, j'éteins la voiture et je le rappelle. Il me jase de bouffe, je sors de la voiture, ferme la porte, raccroche. Eh merde, j'ai laissé la clé dans le contact, épaisse....Je le rappelle, désespérée. Il me rappelle qu'il y a une clé cachée sous la voiture, dans une petite boite magnétique, mais il sait pu où exactement. La solution ? Me coucher en dessous du char, sur l'asphalte mouillée. Yééé. Finalement, je m'en suis assez bien sortie, je suis allée voir Belle-Soeur à l'intérieur, qui m'a donné une boite de carton que j'ai pu utiliser pour ménager mon linge. Le verdict...quelle invention merveilleuse que ces boites magnétiques !!!
vendredi 4 avril 2008
Soirée de geeks
Super beau-papa
C'est drôle, cette semaine, tout ce que j'ai écouté ou regardé semblait faire référence à de bons pères, loyaux, justes, attentifs, affectueux, drôles, protecteurs, juste pour me rappeler que le mien est complètement absent de ma vie, en bonne partie par choix je l'admets. N'empêche, ça m'a causé quelques petits downs passagers. Un père, ç'a l'air chouette des fois.
La malédiction du cari
jeudi 3 avril 2008
Insécurité
Porc-épic : Ouain, faudrait pas que tu me la présentes...
Je ne dis rien. Puis...
Moi : Ça m'a rendue un peu insécure ce que tu viens de dire.
Porc-épic : Toi ? Insécure ?! Ben voyons...
Gnagnagna....