vendredi 31 juillet 2009

Blanc et vrac

Assise devant mon ordi et j'ai un blanc.

Alors.

C'est la fête de Papoune. Bonne fête Papoune !

Je soupe chez Roméo et Juliette. Espérons que le contraste parfois frappant entre nos couples me fasse sourire et pas pleurer.

jeudi 30 juillet 2009

Retour au travail

De retour au travail aujourd'hui, après un mois de vacances. Des journées de 7-8 heures de travail et des semaines de 5 jours, c'est pas une vie je trouve.

mercredi 29 juillet 2009

Mon moral...

n'est pas vraiment meilleur, mais je vais suivre les sages conseils de Plume. Je vais me laisser le temps de retomber amoureuse du béton, pis si ça ne fonctionne pas, j'essaierai de convaincre Porc-épic de déménager! Simple comme bonjour! Le hic, c'est que je n'ai pas envie d'élever mes enfants à la campagne, qu'ils fassent une overdose de grand air, qu'ils aient absolument besoin d'un char pour se déplacer, qu'ils se sachent pas quoi faire de leur peau et/donc qu'ils deviennent dégénérés et qu'ils fourrent entre cousins dans le sous-sol d'un ami chez qui ils étaient allés prendre de la drogue et jouer au poker. Pour leur bien-être et le bien-être de l'humanité, je devrais sûrement rester en ville...

mardi 28 juillet 2009

Montréal, t'es laide et tu pues

Je suis revenue de la Gaspésie hier soir. Après avoir regardé les couchers de soleil féériques sur le fleuve. Après m'être promenée au coeur de montagnes parmi les plus hautes du Québec. Après avoir vu plus d'étoiles en une nuit qu'en 10 ans à Montréal et avoir même vu trois étoiles filantes et fait autant de voeux.

Ben bâtard, j'aurais dû faire le souhait de ne jamais revenir ici de ma vie.

Je ne pensais jamais dire ça, moi qui ai toujours clamé haut et fort adorer Montréal et son énergie particulière, surtout quand ma mère est allée m'enterrer à Laval pendant mon adolescence.

Eh ben ce matin, Montréal, je te hais.

Ça m'a frappée en revenant de l'épicerie, avec la chaleur collante et dégueulasse qui me frappait sur la tête, en roulant sur la très glamour rue Bélanger. Montréal, t'es laide. Tu pues. Même quand on crève de chaleur, tu es froide, anonyme. Rien à foutre de ta rue Mont-Royal gluante et grouillante de monde. Rien à foutre de tes petits bars branchés. Rien à foutre de tes festivals surpeuplés aux foules abrutissantes. Ce que je préfère de toi au fond ? Ce qui évoque un minimum la campagne...tes parcs, tes marchés extérieurs, tes rives. Le reste ? Bah...rien qu'on ne peut pas trouver en habitant à la campagne. Du moins, rien dont j'ai vraiment besoin.

Sérieuse crise existentielle ce matin, doublée d'une déprime solide. Si ce n'était de Porc-épic, je serais en train d'envoyer mon cv dans toutes les commissions scolaires de l'est de la province. Mais il a une job on ne peut plus urbaine...Crisses d'ascenseurs...Fuck off, on fait des bébés et il sera père au foyer!

Arrgghh...en espérant que le moral soit meilleur demain. En attendant, je pars la clim, je ferme les rideaux et j'essaie de recréer le bruit de la marée et l'odeur des algues séchant au soleil.

mardi 21 juillet 2009

Le popotin encore en vacances!

Cette fois-ci, c'est sûr et certain que vous n'aurez pas de nouvelles de moi sur le popotin. Chez ma maman en Gaspésie, pas d'Internet et pas de téléphone. Je vous reviens donc la semaine prochaine! Cinq nuits sans mon Porc-épic, ça va faire drôle, ça fait longtemps que ce n'est pas arrivé. Je vais m'ennuyer...le retour sera chouette! Fleuve immense et grosses montagnes, j'arrive.

lundi 20 juillet 2009

Deux dodos

Dans deux dodos, le vent, l'eau salée et l'air marin m'attendent. Yééééééééé!

dimanche 19 juillet 2009

Chicago : Les transports

Aller à Chicago m'a vraiment donné l'impression que Montréal est le Tiers-Monde du transport en commun. Parce que là-bas, vraiment, wow...Le train est super efficace, plein de lignes, des fois dehors, des fois sous terre, pas trop cher et surtout très propre, surtout quand on compare avec New York. Les trains et les autobus sont climatisés et dans les deux cas, une tite voix annonce chacune des stations, donne des directives genre "ne mettez pas vos pieds sur les bancs" ou "laissez votre place aux handicapés", annonce de quel côté va s'ouvrir la porte du train à la prochaine station et même, dès que le métro est retardé deux secondes, l'annonce et explique pourquoi. Vraiment génial ! À Montréal, le métro peut être jammé dix minutes et on est dans l'ignorance totale, à Chicago, c'est tout le contraire. Dans chaque autobus, il y a aussi un tableau d'affichage lumineux qui annonce toujours la prochaine station. Franchement merveilleux. Sinon, la ville est aussi agréable à parcourir à pied et pour ce qui est du taxi, ben je ne l'ai pas pris une seule fois ! Même pour aller à l'aéroport parce que comme je l'ai mentionné, oh joie, le métro s'y rend. Nous sommes même allés voir le Chicago Symphony Orchestra dans un parc en banlieue de Chicago, à environ 45 minutes de train. Le bonheur.

vendredi 17 juillet 2009

Excitée

Je pars en Gaspésie la semaine prochaine, voir la nouvelle maison de ma mère. J'étais censée y aller avec mon frère, mais il a dû laisser tomber à cause de son nouveau travail. Débinée de faire huit heures de route toute seule, j'ai lancé un appel à tous. Eh bien, ça a donné l'idée à une bonne amie de se taper des vacances pas trop chères en Gaspésie ! Je vais donc aller reconduire Sunshine et son amoureux dans le parc de la Gaspésie et vais sûrement faire une randonnée avec eux une journée. Yééé ! J'ai super hâte ! Je suis vraiment excitée. Pour la première fois, je vais aller en Gaspésie avec ma mère, mais ce sera dans MON char avec MA liberté et dans SA maison, pas la maison de sa belle-mère creepy. Et en prime, une super amie avec qui partager la route et même plus. Hourra !

jeudi 16 juillet 2009

Soir d'été

Porc-épic est couché dans le lit, en bobettes, et il regarde la télé. J'entre dans la chambre.

Porc-épic :
J'ai vraiment chaud. Les deux fans sont au max. Ché pu quoi faire.

Sous-entendu, il veut partir l'air climatisé. Pas moi. Il fait pas si chaud, et j'ai déjà de la cortisone à me shooter dans le nez parce qu'il est trop magané, la tite madame d'info santé m'a dit d'éviter la clim.

Moi :
Ben moi je suis bien. Fait pas si chaud. Enlève tes bobettes, tu vas avoir moins chaud.

Porc-épic, en riant : Ben oui, c'est ça...

Moi : Moi j'ai significativement moins chaud quand j'enlève mes culottes en tout cas.

Silence sceptique.

Moi :
Je te jure que je toucherai pas ton pénis si tu les enlèves.

Porc-épic, qui rit : De toute façon, t'as aucune chance que ça arrive.

Moi, offusquée, qui fous la main sur son paquet : Ah, je viens de le faire.

Porc-épic : Ça c'est rien, tout le monde fait ça sans arrêt.

J'essaie sans succès de foutre la main dans ses culottes.

Moi :
C'est quoi ton problème ? Pourquoi je peux pas toucher ton pénis pis tu dis que j'ai aucune chance de le faire ?

Porc-épic : Parce que tu as été bête avec moi.

Moi : Ok c'est tellement cave là.

Je boude.

Moi, autoritaire :
Laisse-moi toucher ton pénis!

Porc-épic : Non.

Moi :
J'écoute pas l'émission avec toi si tu me laisses pas toucher ton pénis.

Porc-épic, en riant :
Ok, c'est tellement la menace la plus niaiseuse que j'ai jamais entendue.

Je me la ferme.




Call-TV

Non mais quelle émission fascinante.

mercredi 15 juillet 2009

Intimité

Oui, je sais, mon post précédent entrait peut-être dans la catégorie too much information.

Dans ces moments, je regrette un peu d'avoir plein de lecteurs qui me connaissent, mais putain, chui seule à la maison, c'est les vacances et je me vide de tous bords tous côtés, fallait que j'en parle à quelque part. Désolée à vous, lecteurs qui pouvez mettre une face sur cette personne qui souffre sur le bol.

Marde

Si 3 personnes sur 4 qui prennent des antibiotiques ne souffrent PAS de diarrhée, quels sont les chances que j'en fasse partie ?

Oui, c'est bien ce que je craignais.

Puis-je mourir svp ?

Encore malade

Après trois jours à cracher du sang et à vomir en toussant, je suis finalement allée à la clinique pour rassurer mes proches. Je me ramasse donc avec une bronchite, des antibiotiques pour quelques jours, pis du pouch-pouch pour le nez à la cortisone pour tout un mois. Mon petit nez est vraiment irrité, c'est sûrement de lui que venait tout ce sang. N'empêche, je sais au fond que je n'avais pas besoin d'antibiotiques. Ma condition s'améliore tranquillement, pis sans faire de culture, le médecin ne pouvait pas dire si elle est bactérienne ou virale cette fameuse bronchite. Ce à quoi il a répondu qu'après une semaine intense de crachage incluant du sang, on était mieux d'être agressifs.

Dac doc. On est en juillet, je scrape le peu de temps que j'aurais pu passer avec mon Porc-épic en vacances, alors aussi bien tout faire pour me débarasser de ça au plus crisse.

N'empêche, c'est un peu à cause de médecin comme ça qui prônent l'agressivité sans vraiment prendre le temps de vérifier la source du bobo qu'on se ramasse avec des super bactéries qui résistent aux antibiotiques.

mardi 14 juillet 2009

Toune du jour numéro 31

Giving up, Ingrid Michaelson

Petite chanson d'amour vraiment cute en cette journée pluvieuse.

lundi 13 juillet 2009

Mon baptême de l'air

D'abord, l'avion. Je ne l'avais jamais pris. Et là j'allais m'asseoir dans un tout petit avion de 50 places, ce qui, selon ma belle-soeur, est l'enfer, déconseillé à tous ceux qui n'ont jamais pris l'avion. J'avais donc un peu la chienne lundi matin, en ouvrant les yeux à 5h30. Derniers préparatifs, belle-maman qui vient nous reconduire. Les sièges que Porc-épic et moi avions réservés n'étaient pas côte-à-côte. Arrivés à l'enregistrement, le préposé d'American Airlines nous dit qu'il y a des sièges disponibles, mais dans la toute dernière rangée de l'avion. Le tout, dit avec une simili-grimace. Quand il comprend que c'est mon premier vol et que je ne suis pas trop certaine, il rit, me dit que c'est super sécuritaire chez American Airlines depuis 9/11 (prononcé 9-1-1, mais j'avais compris pareil...) pis que en arrière c'est pas si pire, c'est juste comme des montagnes russes. Yééé. Faire une grimace et me rappeler que je vole avec LA compagnie qu'un terroriste voudrait cibler, super...Finalement, nous prenons ces bancs pareil. Douane, bagages, cossins, attente...Finalement, on embarque. Oh. My. God. L'avion est tellement petit. Je crois que quelqu'un de plus de 5'8'' devrait se pencher pour marcher dans l'allée. On dirait un cercueil avec des ailes. Je m'assois, pis je file pas ben pantoute. J'angoisse, j'ai le goût de pleurer. Porc-épic essaie de me rassurer, mais je ne veux pas ouvrir la bouche, j'ai peur qu'un sanglot ou un cri en sorte tellement je suis nerveuse. L'avion se met finalement en branle. Il recule, puis avance, puis tourne en rond, puis avance encore, puis accélère. Et décolle...

Quoi ? Juste ça ?! Le Monstre de la Ronde donne plus de sensations ! J'ai poussé un soupir de soulagement et j'ai souri. Le vol s'est super bien passé, je n'ai pas eu mal au coeur, ni aux oreilles, j'ai regardé par le hublot d'un air béat et j'ai somnolé quand on ne voyait plus rien. Franchement, je trouve que le train et l'autobus brassent pas mal plus et sont beaucoup plus désagréables. Quand nous sommes atterris, après un peu moins de deux heures de vol, je me suis dit qu'on avait mauditement bien fait de ne pas nous taper vingt heures de char. Et au retour je n'avais plus du tout peur, ça s'est passé comme un charme. Vive l'avion !

dimanche 12 juillet 2009

Malade

Avant de parler de mes vacances, je parlerai de mon état actuel : super malade. Vendredi dernier, dès qu'il est tombé en vacances et que la pression des dernières semaines s'est évaporée, Porc-épic a commencé à être malade. Gros virus, mal de gorge intense, nez bouché, oreilles qui font mal, un rhume, mais puissant. Juste avant de partir pour Chicago. Yéééé. J'ai tout fait pour l'éviter, mais évidemment, ça s'est avéré difficile, comme nous allions être ensemble 24 heures sur 24. Nous avons donc commencé le voyage avec un Porc-épic malade et nous l'avons terminé avec deux malades...J'ai commencé à l'être un peu mercredi, et je pense que mon rhume se gardait une petite gêne à l'étranger, parce qu'il vient de me frapper de plein fouet aujourd'hui. Après m'être arrachée les poumons ce matin, je me suis recouchée, puis Porc-épic m'a fait un petit-déjeuner au lit, même si le frigo était vide, ce qui était méga-sweet de sa part. Depuis ce temps, je vache, j'écoute la télé, je classe mes photos et j'envoie Porc-épic me chercher de la soupe tonkinoise. Ce foutu virus ne m'a pas empêchée de passer un bon voyage, mais disons que nous n'étions pas au top de notre énergie. Plus de détails une autre fois !

samedi 11 juillet 2009

dimanche 5 juillet 2009

Le popotin en vacances

Partie à Chicago pour la semaine ! Mais comme ce n'est pas la brousse, qu'il y aura Internet et que j'aurai mon ordi, je passerai sûrement vous écrire quelques mots. Pensez à moi demain matin, c'est mon baptême de l'air, dans un petit avion de 50 places !

samedi 4 juillet 2009

Obsession passée

Finalement, la raison l'a emporté...Chicago, la Gaspésie, rembourser mes prêts et bourses, ya de grosses dépenses qui s'en viennent. Je vais tougher mon appareil encore quelques mois, après je m'en achète un encore plus hot !

vendredi 3 juillet 2009

Obsédée

J'ai envie de m'acheter une nouvelle caméra numérique. Mais je ne sais pas laquelle. Et j'arrête pu de lire des "reviews" en cherchant LA perfection pas trop chère, ce qui ne semble pas exister. Quelqu'un a un appareil dont il est satisfait ?

jeudi 2 juillet 2009

Une de ces soirées

où une chicane stupide gruge toute mon énergie et tue toutes mes idées, sans pour autant être assez importante ou compréhensible pour que j'aie envie d'en parler. Un peu trop de celles-là ces temps-ci.

mercredi 1 juillet 2009

Stevie, la foule et la pluie

Hier, je suis allée pour la première fois au festival de jazz. Ben oui, je sais, ç'a pas d'allure, j'ai 25 ans, je suis montréalaise, pis j'y étais jamais allée. Mais quand on mesure 5 pieds 2, qu'on n'aime pas particulièrement les foules compactes, ni les shows extérieurs et qu'on ne s'invente pas un intérêt subit pour le jazz une fois par année, ça se peut...Quand même, me semble que chu déjà aller voir un show relié à ça à un autre moment de l'année, avec Lorraine Desmarais au théâtre Outremont me semble...M'enfin...

Porc-épic a manifesté un intérêt d'aller voir le show d'ouverture hier soir, et comme j'aime bien Stevie Wonder et que je suis en vacances, je me suis dit pourquoi pas...Et comment j'ai trouvé ça ? Pas pire ! Plus fascinant que génial, mais je ne regrette pas d'y être allée.

D'abord, la température était poche, mais pas siiii pire. La pluie a à peu près cessé quand le show a commencé.

Ensuite, la foule. Mongole. Je pensais qu'il y aurait ben du monde, mais je ne visualisais pas pleinement ce que ça représente beeeeeeen du monde. Le premier endroit où on a essayé de rejoindre le site était tellement jam packed, c'était fou. Porc-épic a pris ma main et l'a tenue très serrée pendant qu'il nous creusait un chemin dans la foule parce qu'avec ma grandeur il m'aurait perdue en deux secondes sinon. À certains moments j'étais parfaitement collée sur deux personnes, une derrière, une devant, sur chaque pouce carré de mon torse. Assez spécial et désagréable. Nous avons fini par traverser ce motton et chercher une autre entrée, avec plus de succès cette fois. Nous nous sommes massés au bord du trottoir, pour me faire gagner 3 pouces et me donner une mini-chance de voir l'écran géant qui diffusait le show sur une autre scène. Parce que la scène principale, oublions ça, je n'aurais rien vu ni rien entendu, yavait ben trop de monde pis c'était mal foutu pour les gens qui étaient un peu loin. Tout ça pour dire que le site complet était bourré de monde, la foule était compacte, mouillée, humide. Je crois qu'au moins deux ou trois cents personnes ont dû toucher mes seins d'une façon ou d'une autre au cours de cette soirée. C'en devenait plutôt drôle. Et la teneur de cette foule ? D'après moi, 1 personne sur 5 était réellement là pour la musique, et ça m'a fascinée. Plein de monde de tous les styles, tous les âges, toutes les nationalités. Des néo-hippies qui dancent pieds nus sur l'asphalte sur de la musique pop en soulevant leurs bras comme si elles étaient en transe, des vieilles alcooliques qui cherchent juste une excuse pour boire de la bière en plein air, des ados en vacances qui cherchent de quoi à faire, des pitounes qui veulent flasher, des couples de bourgeois qui habitent dans le coin et passent faire un tour, des afro-américains les yeux tout fiers, etc.

Pis la musique ? Très chouette. Plusieurs hits, quelques enregistrements de Michael Jackson qui ont fait dancer tout le monde, un medley de jazz excellent. Et surtout, il a fait notre chanson à Porc-épic et à moi, ou plutôt une de nos chansons parce que je ne dirais pas que nous n'en avons qu'une seule, Knocks me off my feet. Je ne m'y attendais vraiment pas, ce n'est pas sa plus connue. Nous avons donc eu une petite pause tendresse en l'écoutant, ça a fait du bien. Pourquoi c'est notre chanson ? Je ne sais pas trop...parce que nous l'aimons tous les deux et que j'ai de beaux souvenirs de balades en voitures avec cette toune qui joue, les fenêtres baissées, le vent dans les oreilles, Porc-épic et moi chantant le refrain en choeur.

De retour de Stevie

Et c'était chouette ! Plus de détails demain, je suis claquée.