mercredi 11 juin 2008

Silence de filles

Il m'arrive, avec certaines amies, d'avoir des espèces de frettes pas clairs. Chaque personne, de son côté, pense que l'autre est frustrée et est frustrée que l'autre soit frustrée, et personne ne s'appelle, et finalement on oublie pas mal la source de tout ce niaisage jusqu'à ce que quelqu'un finisse par bouger. C'est ce qui m'est arrivé avec Vénus. Avant qu'elle m'appelle cet après-midi, nous ne nous étions pas parlé depuis la mi-février. Une éternité donc. Il me semble que c'est typiquement féminin comme situation.

En lui parlant, je me suis rendue compte qu'elle m'avait manqué. Pis que crisse qu'il peut s'en passer des affaires en 4 mois. Je suis avec toi ma chérie.

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