jeudi 8 septembre 2011

DINKS

C'est Plume qui m'a fait découvrir ce mot aujourd'hui. Double income no kids. Une manne pour les vendeux de cossins à ce qu'il parait. Porc-épic et moi sommes définitivement des DINKS, pour je ne sais trop combien de temps, peut-être toujours. Je suis un peu perplexe parce que je ne m'imaginais pas là à presque 28 ans. La vie ne cesse de nous surprendre. Et les mamans obsédées par leur progéniture sur Facebook me poussent chaque jour un peu plus vers la dinkitude et le dégoût de notre société qui traite les enfants comme des biens de consommation qu'on parade pour la foule. Tant qu'à dépenser sur une poussette dernier cri, une déco tendance pour bébé et des vêtements griffés, j'aime autant me payer un bon souper. Mais ça c'est aujourd'hui. Demain, un bébé cute sur le coin d'une rue pourrait bien faire hurler mes ovaires de l'intérieur...

2 commentaires:

Kara a dit…

Avec un peu d'organisation, c'est possible de se payer un bon souper tout en achetant des cossins de bébé!! ;-)
Mais là où je te rejoins, c'est que ça devient ridicule de payer des prix de fous pour des trucs dernier cri/griffés quand ça finit par se ramasser en dessous de plein de taches de vomi... Que ce soit des vêtements, une poussette ou une chaise... On n'y échappe pas!

Mooky a dit…

Ahahah...j'en prends bonne note! :)