mardi 6 octobre 2009

Le bonheur de cogner des clous

Ça faisait longtemps que ça ne m'était pas arrivé de cogner des clous à 22h30. Il y a un petit quelque chose de physiquement agréable avec cette sensation je trouve. Ah le bonheur d'être étendue dans son lit, la tête sur le torse velu de son Porc-épic, et de se sentir partir doucement vers le sommeil avec en arrière-fond les voix de Pierre et Benoit.

Et de se faire réveiller en sursaut quand Plekanec compte un but.

Mais c'est pas grave. J'y retourne.

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