samedi 31 juillet 2010

De retour pour vrai

De retour de la Gaspésie.

Comme d'habitude, je trouve ça agréable, mais triste à la fois et très déstabilisant. Surtout que je n'avais tellement pas passé de temps à la maison entre l'Europe et Sainte-Anne-des-Monts que j'ai l'impression de ne pas avoir été à la maison depuis une éternité! Je n'aurai rien vu du mois de juillet montréalais finalement.

Et pour la première fois de ma vie, je suis encore en vacances pour quelques semaines. C'est la première fois depuis...mmm...20 ans? Depuis que je suis d'âge scolaire, j'ai toujours passé mes étés dans les camps de jour. Après les camps de jour, j'y ai travaillé, puis j'ai eu d'autres boulots. Jamais d'étés libres.

J'en ai pas mal profité jusqu'à présent et je compte bien continuer, même si les sous se font plus rares après toutes ces escapades. Ça va me laisser plus de temps pour venir vous écrire, pauvres lecteurs délaissés.

samedi 24 juillet 2010

Gaspésie

Mon retour à la maison aura été agréable mais de courte durée puisque, même encore un peu décalée, je repars demain matin! Direction la Gaspésie dans la maison de maman. Et pour la première fois, Frérot suit! D'autres beaux moments en perspective! Pas mal différents des dernières semaines probablement...plus de repos, moins de chaleur, mais moins de dépaysement et pas de limoncello! De retour la semaine prochaine.

vendredi 23 juillet 2010

De retour

Et le décalage me rentre un peu dedans. Pas mal fatiguée la fille. Réveillée à 3h00, envie de dormir à 19h00. Ça va passer!

J'ai passé de merveilleux moments, dont je parlerai un peu plus quand j'aurai plus d'énergie.

dimanche 11 juillet 2010

Fait chaud

Vous direz ce que vous voudrez, amis montréalais, je ne vous croirai pas. La vraie chaleur, elle est en Italie. À part dans un sauna, je n'ai jamais eu aussi chaud de ma vie que dans ma tente la nuit dernière. Pas beaucoup dormi. Nuit dans un hôtel florentin ce soir. La vie est belle.

mercredi 7 juillet 2010

Périple français

Première fois que je suis connectée sur mon ordi, donc pas sur un putain de clavier AZERTY! J'aurais bien voulu écrire, mais ça aurait bouffé beaucoup trop de mes minutes précieuses.

Tout va super bien jusqu'à présent. Le soleil brille, parfois même un peu trop fort, il fait chaud en maudit! Au Québec aussi à ce qu'il parait.

En vrac...

Le Louvre c'est beau, mais les vieilles peintures, on s'en lasse un peu au bout de 4h00. Une petite aile contemporaine?

Les Parisiens sont un peu chiants.

Les Lyonnais sont géniaux!

La Méditerranée, c'est turquoise, délicieusement salé, juste assez chaud.

Des abricots, des pêches et des nectarines achetés sur le bord d'une petite route dans le sud de la France, ça goûte le soleil.

Des petits restos sur le bord d'un port, ça risque souvent d'être un attrape-touristes.

Les Allemands sont des campeurs passionnés.

Je n'ai pas changé depuis que je suis toute petite, je m'endors vraiment en char.

Marseille pue, mais est belle.

Comme d'habitude, la mer provoque chez moi des sentiments extrêmes. Je passe de l'extase au désarroi en deux secondes. Heureusement, la première catégorie l'emporte la plupart du temps. Mais comme je suis douillette et sensible, il y a de ces moments, comme quand un campeur saoul pisse juste à côté de la tente dans laquelle je dors, où je me sens vraiment loin de la maison et je m'ennuie de mon petit confort. Je profite de tout au maximum, surtout du beau temps et de ma liberté!

Je pense à vous, chers lecteurs.

vendredi 2 juillet 2010

Le popotin en voyage

Je serai certainement moins assidue dans les prochaines semaines, mais surement pas complètement absente! Je ne m'en vais pas dans la brousse et dans le monde occidental, impossible de se passer d'Internet bien longtemps. Je viendrai vous donner des nouvelles!

Un noeud dans l'estomac

Je pense que je suis folle. Pas normale.
Je pars pour Paris dans quelques heures. Je devrais être extatique.
Oui, je suis super contente et excitée. Mais je suis au moins aussi angoissée, sinon plus.
Je ne sais pas pourquoi je suis comme ça. Depuis que je suis née, tout ce qui est nouveau, inconnu, m'angoisse au plus haut point. Je sais que je vais avoir du fun, je sais que ça va bien se passer, je sais que je ne voudrai pas revenir. Mais pour l'instant je file comme de la marde pis ya une partie de moi qui ne voudrait pas partir...En plus le vol est retardé pis je tourne en rond, chu écoeurée de planifier et ranger, je veux décoller! Que de contradictions...
Je suis encore cette petite fille qui pleurait toutes les larmes de son corps en arrivant au camp de vacances, qui voulait mourir, mais qui pleurait à la fin du camp pour ne pas rentrer à la maison.
Docteur, aidez-moi.